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9 octobre 2008 4 09 /10 /octobre /2008 21:24

Hier soir un communiqué de l'AFP repris sur la quasi totalité des médias annoncait concernant le temps d'antenne local des stations régionales que de 9H30 à 12H30 et de 16H00 à 20H00, les interventions resteront "régionales".
Après vérification auprès du service relations presse de la présidence de Radio France il s'avère qui s'agissait effectivement d'une information erronée.

Cette info n'aurait pas été donnée par la direction de la maison ronde mais serait due, selon la présidence, à une interprétation des journalistes de l'AFP qui "devaient avoir un coup dans le nez"

Après la désinformation distillée la semaine dernière à propos des fipettes fantômes de Fip Toulouse cette nouvelle marque de respect envers les journalistes ne manquera pas de rassurer sur la sincérité de la communication de Radio France dans le cadre de son projet de réorganisation du réseau Fip. Bravo!

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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 23:18
Voila ce que l'on peut lire ce soir sur un communiqué de l'AFP :
La radio FIP touchée par un mouvement de grève
 
Que signifie la fin du communiqué citant JP Cluzel ?!

Pour prépaper cela et "éviter une animation parisienne" dans ces villes de province, la direction souhaite "syndiquer" certaines interventions des équipes de Paris, Strasbourg, Nantes et Bordeaux, et les diffuser sur les différentes antennes, de 8H30 à 9H30 et de 12H30 à 16H00. Il s'agit d'"associer nos pôles de compétence régionale" à l'animation de l'antenne, a précisé M. Cluzel.

De 9H30 à 12H30 et de 16H00 à 20H00, les interventions resteront "régionales".

Nous rappelons que le projet initial, officiellement présenté par Radio-France, prévoit que les antennes régionales soient réduites au seul créneau 16h - 20h.

Alors, Info ou intox ?

Tous avec Fip !

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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 12:40
Depuis mercredi matin tout le réseau FIP est en grève pour une durée illimitée.
Le collectif national des auditeurs et partenaires de Fip exprime son soutien à tous les personnels qui défendent
leur attachement aux stations locales de Fip Paris, Fip Bordeaux, Fip Nantes, Fip Strasbourg, antennes incontournables du service public pour la valorisation de l’action culturelle et la promotion des initiatives territoriales et institutionnelles.

Le concept de Fip c'est la proximité. La proximité ne se fait pas sur une antenne nationale et uniformisée !

TOUS AVEC FIP !
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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 12:30

La diffusion des programmes musicaux de FIP va pouvoir s'étendre à 19 villes françaises et nous nous en réjouissons. Cependant, nous regrettons vivement qu'elle s'accompagne de la réduction de 2 tiers du temps d'antenne de Fip Bordeaux, Fip Nantes et Fip Strasbourg. De fait, nous ne pouvons nous empêcher de croire que cette réduction des programmes locaux se fasse au profit d'une antenne nationale certes élargie mais volontairement uniformisée.

On nous dit que pour pallier la diminution du temps consacré à l’antenne locale, les informations seront diffusées sur l’antenne nationale et sur le site Internet de Radio France. Nous ne nous faisons pas d’illusions quant à la nature de ces informations ; elles concerneront la programmation locale de niveau national qui bénéficie déjà d'une couverture médiatique importante. Seront touchés les petites structures, les manifestations plus locales, les artistes en devenir, tout ce qui fait le formidable dynamisme, le foisonnement, la diversité et donc la richesse de la culture en région.

En privant ainsi les acteurs culturels, diffuseurs de spectacles, directeurs de théâtre,  programmateurs, directeurs de compagnies, acteurs associatifs et les auditeurs d'un tel relais d'information locale, c'est l'expression de proximité sur les antennes de Radio France que l'on contribue à réduire.

Tout cela ne nous semble pas du tout aller dans le sens des missions de service public de Radio France

Nous sommes effectivement préoccupés, d'autant plus qu'il nous semble que ce que nous voyons aujourd'hui pour Fip n'est que la partie émergée de l'iceberg en ce qui concerne l'avenir du paysage radiophonique français.

Nous avons toutes les raisons d'être inquiets de la manière dont s'engage l'arrivée de la Radio Numérique Terrestre car c'est bien cela qu'il y a derrière le projet de FIP.  Le choix opéré sous la pression des grands groupes de communication d'une norme différente de celle utilisée dans les autres pays européens, plus coûteuse en investissement et en diffusion, met en danger la richesse de notre paysage radiophonique. Le risque est grand de voir l'Etat concentrer ses moyens pour une diffusion nationale, laisser les grands groupes faire de même et laisser à la charge des collectivité le maintien d’un réseau local de radio qui, à l’heure du numérique, auront du mal à franchir le cap en raison de l’absence de moyens. C'est bien l'information locale qui est menacée par une uniformisation des contenus.

La RNT est potentiellement un formidable outil qui offre de grandes possibilités d'interactivités privilégiées avec l'auditeur. L'utiliser pour uniformiser les contenus diffusés est un non-sens.

Monsieur le Président-Directeur Général, nous réaffirmons notre attachement aux antennes locales de Fip, média incontournable du service public pour la valorisation de l’action culturelle et la promotion des initiatives territoriales et institutionnelles à Bordeaux, Nantes et Strasbourg.

Monsieur le Président-Directeur Général, considérant les arguments ci-dessus exposés, nous vous demandons de revenir sur cette réforme et de garantir l’avenir des Fip en régions et leur développement demain sur le numérique.

SIGNATAIRES

***

Le collectif des auditeurs de FIP Bordeaux, FIP Nantes, FIP Strasbourg,

Les partenaires culturels, institutionnels et associatifs de FIP Bordeaux, FIP Nantes

et FIP Strasbourg réunis autour du TNS,

La ville de Nantes : Jean-Marc Ayrault, Député Maire

La Ville de Couëron : Jean-Pierre Fougerat, Maire

La Ville de Saint-Herblain : Bertrand Affilé, 1er adjoint au Maire / Jean-François Tallio, adjoint à la Culture

La Ville de La Chapelle sur Erdre : Yves Le Leuch, adjoint à la culture

La Ville de Rezé : Gilles Retière, Maire et 1er vice président de Nantes Métropole

Le Conseil Général de Loire-Atlantique : Patrick Mareschal, Président du Conseil Général

Les parlementaires de Loire-Atlantique : Jean-Marc Ayrault, Marie-Odile Bouillé, François de Rugy,
Michel Ménard, Dominique Raimbourg, Christophe Priou,

La Communauté Urbaine de Bordeaux : Vincent Feltesse, Président

Parlementaires de Gironde : Philippe Madrelle

La Ville de Strasbourg : Roland Ries, sénateur-maire de Strasbourg

La Communauté Urbaine de Strasbourg : Jacques Bigot, Président de la Communauté Urbaine de Strasbourg réunissant l'ensemble des maires de la CUS (motion votée à l'unanimité).

L'ensemble des parlementaires alsaciens réunis autour d'André Schneider, député du Bas-Rhin

Philippe Richert vice-président du Sénat, sénateur du Bas-Rhin

L'Eurodistrict : Dr Wolfgang Müller et Mr Roland Ries

Le Conseil Général du Bas Rhin

Adrien Zeller, Président du Conseil Régional d'Alsace

Les animatrices de FIP Bordeaux, FIP Nantes, FIP Strasbourg

Animatrices, Programmateurs et Chefs d’antenne de FIP Paris

CFTC Radio France       CFDT  Radio France     S.N.F.O.R.T Radio France

                       CGT Radio France   SUD Radio France

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 20:07

FIP EN DANGER ?

COMMUNIQUE DU CCE  DE RADIO FRANCE

Les élu-e-s du CCE de Radio France refusent de siéger en soutien aux personnels de FIP.
Convoqué-e-s le 7 octobre 2008 à Paris pour notamment donner leur avis, sur la réorganisation de FIP, les élu-e-s ont refusé à l'unanimité de tenir le CCE présidé par Jean-Paul CLUZEL estimant ne pas être en mesure de donner leur avis alors que des négociations entre les organisations syndicales et la Direction sont en cours dans le cadre d'un préavis de grève pour le 8 octobre 2008.
Ils/elles jugent en effet que ces négociations peuvent modifier
 le projet qui devait leur être présenté.
La réunion ne s'est donc pas tenue.
Ce projet prévoit la réduction de 2 tiers d'antenne locale à Bordeaux, Nantes et Strasbourg. Actuellement ces stations diffusent des informations de proximité
de 7 h à 19 h 30.
A compter du 3 novembre 2008 le temps d'antenne locale serait restreint à 4 heures : 
de 16 h à 20 h, plus 4 interventions seulement à 9 h 30 - 10 h 30 - 11 h 30 et 12 h 30.
Ce qui menace à terme l'existence de ces 3 stations et les emplois afférents.
Ce plan remet également en cause la présence en studio des chefs d'antenne qui réalisent en direct le programme FIP au côté des animatrices et technicien-ne-s.


Rappel des propos du Secrétaire Général de Radio France, Monsieur Cavelier,
lors de sa venue à Nantes:
"Vous savez,  dans la fonction publique,
 les grèves s'il fallait commencer à en tenir compte!"

(A suivre!)

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 19:36

 A l’initiative de l’association des auditeurs de Fip, un grand débat s’est tenu hier soir au Pannonica, à Nantes. Son thème ? Quel avenir possible pour l’information culturelle de proximité et les médias locaux face aux évolutions techniques et notamment l’arrivée de la radio numérique terrestre ?

Sur scène, partenaires culturels, représentants des médias régionaux, élus locaux et dans la salle, auditeurs et citoyens mobilisés ont répondu massivement à cette invitation. Parmi les intervenants, Dominique Raimbourg et François de Rugy, parlementaires, Pascal Bolo et Jean-Louis Jossic, élus de la ville de Nantes, Patrick Mareschal, Président du Conseil Général de Loire-Atlantique, Philippe Coutant et Paul Morizeau, Directeurs du Grand T et de l’EPCC Onyx/ La Carrière, Jean-Marie Biette, Directeur départemental de Ouest-France, Marie-Sylvie Bitarelle, Directrice générale de Télénantes…venus apporter leur soutien aux médias de proximité. La discussion, menée par Philippe Dossal (journaliste et écrivain), a posé clairement les enjeux d’un tel sujet.


Qu’est ce que la radio numérique terrestre (RNT) ?

Les explications techniques ont été avancées dès le commencement de la soirée, afin que chacun comprenne les enjeux d’une telle évolution. Pierre Boucard, conseiller technique national pour la radio numérique a fourni des précisions utiles.

Comme la télévision hertzienne a vécu il y a quelques temps l’arrivée de la TNT, la radio analogique est aujourd’hui confrontée aux mêmes mutations technologiques. Deux formats sont actuellement en compétition pour devenir la norme officielle française de la RNT : le DAB + et le T-DMB.

Si le premier est peu coûteux et privilégie le son, le second favorise l’image et se révèle nettement plus onéreux à exploiter. C’est pourtant cette norme qui est en passe d’être choisie par le CSA, dans une volonté évidente d’avantager les grands groupes radiophoniques et de permettre la diffusion de contenus multimédias! Car les nouveaux récepteurs radio qu’il nous faudra acquérir seront dotés d’un écran, afin d’y proposer de nombreuses ‘‘données associées’’ telles que le titre du morceau diffusé, la jaquette de l’album (informations déjà disponibles sur Internet à l’heure actuelle…), ou bien encore de la PUBLICITÉ… ! L’intérêt financier est pour l’auditeur nettement moins évident, puisqu’il lui en coûtera environ 150 euros pour l’achat d’un poste adapté à cette nouvelle norme.

D’un progrès technologique incontournable, reconnu comme tel par les différents participants, permettant une meilleure réception, une plus grande qualité sonore et surtout d’augmenter le nombre de stations sur une même plage de fréquences, on va donc faire un nouveau marché lucratif et un beau gâchis.  Selon Jean-Louis Jossic, on donne ici la priorité au contenant sur le contenu.


La primauté de la technique sur le culturel !


Cette mutation technologique, outres ses aspects techniques, a pour conséquence de bouleverser profondément le paysage radiophonique. Et les différents acteurs du débat se sont élevés hier soir contre la prochaine uniformisation de l’information. Les petites radios et  radios associatives sont menacées ; à l’image de FIP, qui va voir son antenne locale réduite à 4H contre 12H3O en ce moment, en prévision du passage à la RNT. Chacun s’est ému de la disparition, programmée par Radio France, de ce temps d’antenne qui  permet un relais de la création comme de la diffusion. L’absurdité de cette réforme, qui vise à centraliser des informations locales pour leur donner une médiatisation nationale a été maintes fois soulignée.

Pour Jean-Louis Jossic, « cela dépasse l’entendement ! » Les événements d’envergure nationales non pas besoin d’une couverture médiatique supplémentaire dans la capitale alors que les actions locales nécessitent un soutien quotidien de la part des médias locaux.

Philippe Coutant : « on se fout de nous ! Qu’on arrête de nous dire qu’à Paris c’est beaucoup mieux ! Il y aussi 50 millions d’habitants qui n’habitent pas la région parisienne !»


Le cas de Fip n’est malheureusement que l’illustration d’un contexte général assez inquiétant. C’est tout l’audiovisuel public qui est menacé, avec notamment la réforme du financement de la télévision publique. Aussi il est important de rester vigilants et mobilisés pour la défense d’une information culturelle de proximité et pour le pluralisme et la diversité du paysage médiatique !

Etaient présents au débat:

Dominique Raimbourg, Député de Loire-Atlantique
François de Rugy, Député de Loire-Atlantique
Patrick Mareschal,  Président du Conseil Général de Loire-Atlantique
Pascal Bolo, adjoint Finances, évaluation des politiques publiques, dialogue citoyen à la ville de Nantes
Jean-Louis Jossic, adjoint à la culture à la ville de Nantes
Pierre Boucard, conseiller technique national pour la radio numérique
Yann Oger, Directeur de la radio Hit West

Julien Fallelour, Johann Pailloux, Justine Salmon, Journalistes et Responsables des Radios RTL2/ Fun Radio
Pascal Massiot, Journaliste à la Radio Jet FM
Camille Pollet, Président de Prun'
Marie-Sylvie Bitarel, rédactrice en chef de Télénantes
Michel Cellier, Directeur Général de Nantes 7/ Angers 7
Vincent Braud, Responsable d'édition de WIK Nantes/ Kostar

Philippe Coutant, Directeur du Grand T
Paul Morizeau, Directeur de l'EPCC Onyx/ La Carrière

Marthe Gauducheau-Battant, Chargée de diffusion
Dominique David, Chargée de mission
Cyril Gohaud, Directeur du Pannonica
Jean Marie Biette, Directeur Départemental Ouest-France
Dominique David, Chargée de mission culture à la ville de Nantes
Philippe Guihéneuf, Directeur du TNT
Pascal Couffin, Président du magazine Fragil

Débat animé par Philippe Dossal, journaliste et écrivain,
en présence de 130 personnes.
 


Merci à l'équipe du Pannonica !

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 01:36
Lire l'article paru le 6 octobre sur le site de radio Actu :

http://www.radioactu.com/actualites-radio/97966/fip-inquietude-autour-des-stations-locales/
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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 18:38
Les journalistes sont perdus!
C'est vrai que si le Président parle un double langage...
http://www.libetoulouse.fr/2007/2008/10/radio-elles-ava.html

A suivre!
Tous avec Fip
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3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 01:08
Si le coeur vous en dit:

http://www.liberation.fr/medias/0101120362-la-radio-s-apprete-a-sauter-dans-la-tnt


Rendez-vous Lundi 6 Octobre à 19h30 au Pannonica...
ATTENTION: il est prudent de réserver votre place en confirmant votre venue...
Contact: auditeursfipnantes@yahoo.fr

Tous avec Fip!
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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 21:16
   RifiFip !

Pour lire l'article de Télérama : http://www.telerama.fr/radio/rififip,34236.php

Quelques réactions de Tous avec Fip sur cet article :

Tout d'abord, dire que les "auditeurs et les politiques locaux" qui défendent Fip n'ont pas besoin du
personnel des antennes régionales pour se mobiliser. Cela peut étonner mais c'est pourtant ainsi.

Ensuite dire que si la copie doit être revue par la direction de Radio France, ce ne sont certainement
pas les 4 minutes ! d'antenne généreusement octroyées qui peuvent prétendre répondre à l'immense
mobilisation dans les 3 régions concernées.

Puis pour terminer, Madame Dominique Pensec, comment résumer Fip à son programme musical,
comment ignorer le travail de proximité réalisé depuis tant d'années en régions. Quel cynisme
envers les voix qui font de Fip cette si belle radio. Non madame ! Fip n'est pas un simple robinet à musique. Cessez d'ignorer les arguments de vos auditeurs et de vos partenaires qui tous défendent 
l'information de proximité. Alors madame, ce que vous semblez réduire derrière un 14% qui viendrait
s'ajouter de manière comptable aux 86% de musique, cette animation qui fait de Fip une radio et pas
une musique d'ambiance, nous la défendons, nous la plébiscitons, nous en redemandons.
Et pas depuis Paris mais à Bordeaux, à Nantes, à Strasbourg. Et soyons modernes, à Rennes, Toulouse, Montpellier, Marseille ... Encore un petit effort !

Tous avec FIP !

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