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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 13:50

Le directeur de Fip, Julien Delli-Fiori, réfute l'idée qui circule depuis quelques temps dans les médias et sur le site du CSA selon laquelle la programmation musicale de Fip devrait être recentrée sur le classique et le jazz.

 

Selon Julien Delli-Fiori, ces deux styles garderont toute leur place à l'antenne mais parmi tous les autres. La spécificité de Fip qui en fait certainement une radio unique au monde n'est pas remise en question. 

 

Fip va donc rester Fip. Pour le plus grand plaisir de ses auditeurs.

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 23:36

MUSIQUE_A_COEUR.jpg

 

 

 

 

 

 

Lisez la réaction de la CFE CGC Radio France concernant le projet de repositionnement de la programmation musicale de FIP proposée au CSA par les responsables du groupe public.

 

link

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22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 23:26

Dans son Contrat d'Objectifs et de Moyens pour la période 2010-2014, la direction de Radio France vient de proposer au CSA un repositionnement du programme musical de FIP. En termes de genres musicaux, FIP ne diffuserait plus que du Jazz et du Classique.

Même le CSA s'en étonne !

 

  
Lire également cet article "Le CSA COM-munique sur Radio France" sur le site SATMAG : http://www.satmag.fr/affichage_module.php?no_theme=1&no_news=12581&id_mod=50

 

 

Avis du CSA rendus au Gouvernement

Avis du CSA du 13 juillet 2010 sur le projet de contrat d’objectifs et de moyens de Radio France pour la période 2010 - 2014

Avis n° 2010-19 du 13 juillet 2010 sur le projet de contrat d’objectifs et de moyens de Radio France pour la période 2010 - 2014

Saisi, en application des dispositions de l’article 53 de la loi n°86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, du projet de contrat d’objectifs et de moyens entre l’Etat et Radio France pour la période 2010-2014, le Conseil supérieur de l’audiovisuel émet l’avis suivant.

1. Le contrat d’objectifs et de moyens exprime la volonté d’évolutions importantes

Le contrat met l’accent sur plusieurs points :

1 - Les lignes éditoriales des antennes de Radio France :

- France Bleu constitue, en termes d’audience, une réussite remarquable ; ce programme, qui séduit un nombre croissant d’auditeurs, est appelé à se développer sur de nouvelles zones à forte densité de population. Cette volonté d’extension du réseau France Bleu soulève deux remarques. D’une part, le Conseil a adopté une stratégie d’exploitation maximale de la ressource disponible en termes de fréquences en mode analogique ; en conséquence, les fréquences encore vacantes sur les zones à forte densité de population deviennent de plus en plus rares. D’autre part, une démarche de réservation prioritaire de nouvelles fréquences pourrait être susceptible d’entraîner des réactions fortes de protestation de la part des opérateurs privés.

- Le contrat prévoit une relocalisation à Paris et une refonte en profondeur de la ligne éditoriale du Mouv’. Ce nouveau positionnement peut être interprété comme lié aux faibles audiences des programmes de la station. Celle-ci est confrontée à des difficultés importantes pour rencontrer son public. Si la première mesure relative à l’implantation uniquement parisienne de la tête du réseau pourrait être de nature à améliorer le fonctionnement de ses différentes structures et à renforcer la cohésion de l’antenne, on peut espérer que l’évolution du programme à dominante musicale vers un programme plus généraliste mêlant émissions d’information, de débats et de musique, comme il était prévu lors de la création du Mouv’, aura également une incidence positive en termes d’audience.

- Le contrat affiche la volonté des dirigeants de Radio France de repositionner, en termes de genres musicaux, la station FIP uniquement sur le jazz et la musique classique. Afin de pallier les difficultés rencontrées, en termes d’audience, par ce programme, la stratégie adoptée a consisté à axer celui-ci uniquement sur deux styles musicaux. Cependant, le Conseil s’interroge sur la pertinence du recentrage souhaité par Radio France qui est en opposition avec l’éclectisme et la diversité des genres musicaux exposés jusqu’à présent sur l’antenne.

Les objectifs éditoriaux du contrat se conjuguent avec une volonté de renforcer la qualité des programmes et d’améliorer les audiences des différentes stations du groupe Radio France.

2 - Les formations musicales :

1) La définition des missions de chacune des formations musicales de Radio France en précisant leur objet et en augmentant leur exposition sur l’antenne de France Musique mais aussi de France Inter ;

2) la création d’un auditorium dont la mise en service est prévue en septembre 2013 ;

3) une plus grande diversité dans les formules de concerts proposées ;

4) une volonté de pratiquer une démarche tarifaire attractive.

La volonté affirmée de renforcer l’exposition de la musique classique, avec la création d’un auditorium, et de préciser les missions de chaque formation musicale constitue un aspect positif. Mettre en place une synergie entre les différents orchestres et les antennes de Radio France, France Musique et France Inter valorisera ces formations et sera susceptible d’attirer un public nouveau dans les salles de concerts.

2. Le contrat d’objectifs et de moyens reste, dans ses ambitions, très proche des obligations inscrites dans le cahier des charges, mais peu disert sur les moyens utilisés pour atteindre ces objectifs

La plupart des éléments inscrits dans le contrat reprennent des obligations déjà inscrites dans le cahier des missions et des charges de Radio France : conforter l’action musicale et culturelle des chaînes, développer les liens avec les sociétés de l’audiovisuel extérieur, s’investir dans les nouvelles technologies, entre autres.

Les objectifs qui sont présentés dans le contrat (parties I à III notamment) restent assez neutres. En effet, Radio France affiche une forte volonté de renforcement des missions qui lui sont déjà confiées par son cahier des missions et des charges (affirmation de sa mission pédagogique par exemple) et, lorsqu’un nouvel objectif est déterminé, il n’y a pas véritablement de mesures concrètes proposées. A titre d’exemple, pour promouvoir la diversité à l’antenne, Radio France avait déjà entrepris un certain nombre d’actions en faveur de la lutte contre les discriminations. L’affirmation de la continuation et du renforcement de cette action constitue un point positif. Cette ambition de Radio France est à rapprocher de la volonté du Gouvernement de promouvoir la lutte contre les discriminations et pour l’égalité des chances. Cependant, le contrat aurait pu préciser les critères retenus pour permettre aux auditeurs d’apprécier concrètement le renforcement de la diversité sur les différentes antennes.

Par ailleurs, concernant les adaptations de la société aux nouvelles technologies (article 8 du cahier des missions et des charges), Radio France propose de mettre à disposition des internautes, en développant un lecteur multimédia « avancé et intelligent », certains contenus de la société nationale de programme. Il semblerait pertinent, aux yeux du Conseil, que ce lecteur fût développé en collaboration avec France Télévisions et l’Institut national de l’audiovisuel afin d’en rationaliser l’usage.

Le Conseil regrette qu’aucune estimation financière précise ne soit communiquée concernant les coûts des différents objectifs ci-dessus mentionnés. Dans ce contexte, il aurait été opportun de pouvoir disposer de données quantifiées plus précises. Tel est en particulier le cas pour la radio numérique terrestre sur laquelle une ambition plus forte pourrait être exprimée.

D’une manière générale, la stabilité des effectifs et des budgets est présentée comme un objectif majeur : il est notamment prévu que le développement de nouvelles activités se fasse par redéploiement de personnel, sans que soient précisés les secteurs dont les effectifs pourraient être diminués à cette occasion.

A l’exception notable du chantier de rénovation de la Maison de Radio France, pour lequel la participation de l’Etat est quantifiée, il est prévu que le développement de ces nouvelles activités doive se faire sur la seule base du recours à l’autofinancement par Radio France, à l’exclusion de tout financement complémentaire de l’Etat.

De même, les ressources nouvelles prévues par le contrat pour ce développement sont peu détaillées. Seules les ressources publicitaires font l’objet d’une prévision d’augmentation de 3 % par an : cet objectif peut apparaître très ambitieux au regard des contraintes réglementaires pesant sur Radio France en matière de publicité, et en comparaison avec les évolutions récentes de ces ressources pour l’entreprise (-1,3% en 2007-2008, -0,9% en 2008-2009).

Le Conseil souhaite être destinataire chaque année, pour information, d’une copie du rapport d’exécution du contrat tel qu’il est transmis aux commissions des deux Assemblées.

Le présent avis sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 13 juillet 2010

Pour le Conseil supérieur de l’audiovisuel :
Le président,

M. BOYON

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22 juillet 2010 4 22 /07 /juillet /2010 22:15

codou-20et-20garretto.jpg

Jean Garretto et Pierre Codou sont des hommes de radio qui n'ont jamais eu la vocation de parler dans un micro. En revanche, ils ont fait parler. Ils ont créé des vocations, ils ont encouragé la chasse au son. Ils ont été des inventeurs de talents et de radio. Jean Garretto et Pierre Codou ont produit L'Oreille en coin sur France Inter entre 1971 et 1990. Une émission multifacette, qui durait trois demi-journées tous les week-ends. Ils ont accompagné les fins de semaines de millions d'auditeurs pendant 20 ans. Dans cette émission, un ton a été créé, mêlant ironie et empathie, dans une ambiance "élitaire pour tous" fidèle à l'idée qu'ils se faisaient du service public. Kriss, Daniel Mermet, Denis Cheissoux, Kathia David, Leila Djitli, Paula Jacques, Eve Ruggieri, Daniela Lumbroso... y ont fait leurs premiers pas professionnels.

En 1971, Codou et Garretto ont inventé autre chose : FIP. Radio musicale urbaine d'accompagnement, mêlant des musiques savamment dosées et quelques courtes informations (culturelles et trafic par les "fipettes", informations générales par des voix masculines). Un format étonnant qui demeure près de 40 ans après.

 

Ecoutez l'émission

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 22:07

Publié le 29/06/2010 à 14:06 lepoint.fr

INTERVIEW

Jean-Luc Hees : "Je vais me déclarer pdg humoriste !"

Par Emmanuel Berretta

Jean-Luc Hees : "Je vais me déclarer pdg humoriste !"

Le président de Radio France Jean-Luc Hees a été vivement critiqué après l'éviction des humoristes Stéphane Guillon et Didier Porte de France Inter © AFP

Click here to find out more!

Le président de Radio France est en place depuis un an. À la rentrée, Jean-Luc Hees va pouvoir imprimer sa marque sur les différentes grilles de programme des stations du groupe : France Inter débarrassée des comiques Guillon et Porte, Le Mouv' rapatriée à Paris, FIP dont les choix musicaux sont retravaillés, tout comme la lisibilité de France Musique. Panorama des grands changements.

Lepoint.fr : Votre première saison a été parasitée par l'affaire Guillon. Vous payez cher le fait d'avoir été nommé par Nicolas Sarkozy...

Jean-Luc Hees : Cette affaire Guillon enflamme surtout un petit monde parisien. Quand David Douillet nous attaque en justice et porte plainte contre moi, là, je défends le journalisme. Je comprends que l'on puisse être suspicieux. Je suis moi-même journaliste. Mais dites-moi où j'ai péché ? Nicolas Sarkozy m'a proposé de diriger cette belle maison. Dire non au job ? Jamais ! Combien de gens savent pour qui je vote ? C'est mon intimité totale. Je ne parle de ça qu'en famille. À tous, je réclame un peu d'intégrité intellectuelle.

Vos détracteurs parlent de "censure" concernant Guillon et Porte...

Ce n'est pas un débat politique. S'il y a bien un média sans censure, c'est France Inter. Insulter les gens, les diffamer comme Guillon l'a fait cette saison, ce n'était plus tolérable. Moi aussi, tiens, je vais me déclarer "pdg humoriste" et je vais me permettre de dire n'importe quoi !

Stéphane Guillon était-il assez drôle selon vos critères ?

Je ne ris pas au coup de sifflet parce qu'il est écrit "faut rire". Vive l'humour ! Mais j'ai une idée de l'information qui est différente. France Inter est une ambitieuse entreprise de presse. Est-ce que cela passe par la case de l'humour ? Ce n'est pas dans mon "ADN" de journaliste. Et je crois que, sur ce terrain, je suis légitime. J'avais mis Guy Carlier le matin dans une tranche d'humour. Lui, il tirait tous azimuts et pas seulement contre la droite. J'en garde d'excellents souvenirs. De temps en temps, il y avait des soucis. Je lui disais : "Tu as déconné." Alors, il envoyait des fleurs, un mot gentil. Parfois, il refusait. Ce n'était pas si grave car il comprenait qu'il fallait se montrer un peu humain. On n'est pas obligé de détester les autres quand on est humoriste.

Vous virez Guillon mais le fait que Daniel Mermet appelle au meurtre d'un ministre via un message téléphonique sélectionné, n'est-ce pas plus grave que les insolences d'un humoriste ?

Mermet est un excellent producteur de radio qui a trente ans de boutique. Il a des idées, il est créatif. J'ai dû m'engueuler mille fois avec lui. Il a un point de vue qui n'est pas le mien, il a le droit de l'exprimer sur une chaîne publique. Quand la morale n'y trouve pas son compte, je lui en parle. Chez Mermet, il y a le bon et le mauvais cholestérol.

Mais sur "l'appel au meurtre" dénoncé par le CSA, vous lui en avez parlé ?

C'est entre lui et moi. Je n'ai pas réponse à tout.

Qu'attendez-vous de France Inter aujourd'hui ?

Il faut qu'on soit la radio de tous. Si on pouvait abandonner cette manie de donner des leçons à tout le monde. Mon "France Inter idéal", c'est une radio "pour un honnête homme" pour reprendre l'expression de Jacques Rigaud (l'ancien patron de RTL, NDLR). Il s'agit de donner les clefs de la connaissance en regardant le monde différemment. Une radio qui aide à vivre. Ceux qui l'écoutent se considèrent comme respectés. C'est une maison qui va bien et qui a les moyens de travailler. Nous avons signé avec l'État un contrat qui nous garantit une augmentation de nos ressources de 3,1 % par an pendant cinq ans. Quel patron de médias aujourd'hui peut être certain de disposer de tels moyens ? Il y a des chantiers partout et notre obsession doit être celle d'améliorer nos contenus.

Justement, Le Mouv' va profondément changer de format. On dit que vous voulez en faire une "France Inter pour jeunes"...

Je ne dirai pas des choses pareilles car la notion de "jeune" me paraît très élastique. Je connais des "vieux" qui sont jeunes d'esprit et des "jeunes" qui sont déjà vieux. J'ai identifié certaines difficultés ou caractéristiques d'une population jeune et urbaine. Une expression de solitude, de colère, de frustration... Je les trouve assez vifs, moi, ces jeunes. Mais ils ont des carences. Par exemple : la politique. Il paraît qu'il ne faut pas leur en parler. Est-ce qu'il faut laisser tomber ? On fermerait les volets et on dirait "Allez musique, les gars !" ? Les jeunes n'ont plus besoin de nous pour écouter de la musique. Je fais le pari qu'ils sont curieux. Il y aura sur le Mouv' une vraie tranche d'info le matin avec des invités politiques. Un vrai 7/10, animé par Yassine Belattar. Entre 17 et 19 heures, il y aura de la place pour un magazine cuturel et entre 19 et 21 heures, ce sera la place du débat avec des invités. Et l'on parlera là aussi de politique. Bref, on va essayer de prendre ces jeunes au sérieux. Toute la différence et la difficulté, c'est le style. Tout est dans le style. En tout cas, je ne ferai pas du Mouv' une radio communautaire avec casquette à l'envers et baggy sur les fesses.

Sur FIP, vous vous êtes plaint de la programmation musicale...

La playlist comprenait 18.000 titres différents par an. Qu'est-ce que cela veut dire s'il n'y a plus de choix éditorial ? Et puis, on entendait plus les voix de FIP. Il leur faut plus de place. FIP ? c'est comme Jeep ou Rolls Royce, on n'en vend plus beaucoup mais on en connaît la valeur.

France Musique, un changement à la matinale ?

Cette station s'identifie le matin. Vous êtes quelqu'un de différent si vous écoutez France Musique le matin au saut du lit. Avec Marc-Olivier Dupin, son directeur, nous avons recruté une forte personnalité qui a du style. Ce sera Alex Taylor. Il est classieux, décalé, british. Le journal sera très parlé avec une connotation marquée sur la politique étrangère. Par ailleurs, c'est la radio aux 1.000 concerts par an. Mais qui le sait ? La grille doit être plus lisible et la station plus accessible.

France Culture, la continuité...

J'en ai marre de faire des compliments à Bruno Patino, son directeur ! (sourire) Il s'est approprié la chaîne et je le soupçonne même d'aimer ça. C'est très agréable de travailler avec lui et ça va vite.

France Bleu a fortement progressé en audience cette année. Peut-elle un jour rejoindre Europe 1 ou Inter ?

À mon arrivée, je ne connaissais pas très bien ce réseau de 42 - bientôt 43 - stations qui représente tout de même 1.500 personnes sur 4.500 collaborateurs à Radio France. C'est une station aussi prestigieuse que les autres, composée de radios locales qui ont une fierté d'appartenance. Le potentiel se libère et je pense que France Bleu peut atteindre 8 à 9 points d'audience. D'autant qu'elle ne couvre que 80 % du territoire. Quand je demande des fréquences pour France Bleu, ça fait scandale auprès de nos concurrents du privé. Eh bien, tant pis... Je continuerai à développer France Bleu en Midi-Pyrénées, à Saint-Étienne et même à Lyon.

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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 22:23

POUR UNE RADIO PUBLIQUE INDEPENDANTE
APPEL A LA MOBILISATION


Nous, auditeurs-trices et salarié-e-s de Radio France (France INTER, France INFO, France BLEU et ses 42 locales,  France CULTURE, France MUSIQUE, LE MOUV’, FIP) refusons la main mise du pouvoir en place sur les antennes de la radio publique. Les suppressions injustifiées d’émissions, les licenciements sans ménagement de producteurs-trices et de chroniqueurs-euses dont ceux de Didier Porte et Stéphane Guillon sont les plus symboliques, mettent en évidence la mission confiée par Nicolas Sarkozy à la direction de Radio France : transformer les antennes de la Radio Publique en
machine de guerre électorale à son profit.

 

Les antennes de la radio de service public sont celles de tous les citoyen-nes et non pas la propriété
d’un clan.


Nous exigeons :
·  Le respect et la garantie de la liberté d’expression, de l’indépendance des programmes et de
l’information sur les radios de service public.
·  Le respect du travail des rédactions de Radio France.
·  Le droit à l’impertinence, à la différence.
·  Des propositions professionnelles réelles et sérieuses pour les producteurs-trices écarté-e-s
des antennes de Radio France .

 

Et demandons le retour sur l’antenne des chroniques de
Didier Porte et Stéphane Guillon dans la matinale de France Inter et dans
l’émission le fou du roi.

 

 

Nous, auditeurs-trices et salarié-es sommes attaché-e-s aux valeurs qui ont bâti la radio de service public.
ARRETEZ DE CASSER NOS ANTENNES !

 

Retrouvons nous tous ensemble, auditeurs-trices et salarié-e-s, JEUDI 1er juillet 2010 à 18h :
• devant les locaux des France Bleu en région et du Mouv’ à Toulouse.
• devant la Maison de la Radio à Paris.
(116 Av du Président Kennedy, 75016)

 

SIGNEZ LA PETITION DE SOUTIEN SUR :
link

 

Avec le soutien de l‘intersyndicale de Radio France

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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 22:12

Communiqué de presse
Paris, le 23 juin 2010

 

A Bordeaux, Nantes - Saint-Nazaire et Strasbourg, les antennes de Fip retrouvent leurs horaires locaux de 7h à 19h.

 

Dès le 1er juillet 2010, Fip Bordeaux, Fip Nantes – Saint-Nazaire et Fip Strasbourg diffuseront leur antenne spécifique de 7h à 19h, tous les jours de la semaine : programmation musicale éclectique et originale, actualité culturelle de la
région pour tout savoir sur les expositions, concerts, spectacles et films à ne pas rater, flashs infos portant sur l’actualité nationale et internationale…

 

Julien Delli-Fiori, directeur de Fip depuis le mois de février 2010, souhaite que la part locale de Fip à Bordeaux, Nantes – Saint-Nazaire et Strasbourg retrouve sa dimension initiale.

 

Une expérience modifiant sensiblement les horaires locaux avait été mise en place fin 2008, au profit d’une part plus importante laissée au programme national.

 

En réponse aux demandes de nombreux auditeurs, Fip a souhaité revenir au dispositif antérieur favorisant plus nettement l’offre locale des trois stations concernées.

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 21:07
Mars 2010
Le printemps ...
Un nouveau directeur pour Fip ...

De bonnes nouvelles à venir ?

Rendez-vous sur ce blog dans les jours à venir pour des infos réjouissantes ?
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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 23:00

Vous êtes nombreux à réagir depuis lundi suite au démarrage du nouveau Fip :

"Tristesse", "messages de soutien aux équipes de Fip", "rage", "dégoût", "aucun intérêt pour le programme national", "déception", "quelle que soit la  qualité de sa programmation musicale, ce n'est pas uniquement pour cela que j'aime FIP, mais parce qu'elle me parle de la ville où je travaille, où je sors, et du temps qu'il y fait", "mécontentement", "mépris pour les auditeurs (fidèles)", "quel dommage" ...

La perte d'identité est évidente, ce mélange d'antenne locale et nationale !? Un mélange de tristesse et de colère a envahi les auditeurs. Il est clair que le lien avec cette radio est fort, souvent dans l'émotion. Nous l'avons dit, nous l'avons crié depuis plusieurs mois. La direction de Radio France ne l'a pas entendu. Trop loin de nos considérations émotionnelles, régionales ! Projet d'entreprise, froid, déterminé, plein de certitudes sur ce qui est bon pour nous.

Une certaine tristesse a également envahi les studios de Fip.
Comment les animatrices de Bordeaux, Nantes, Strasbourg vivent-elles d'être dans les studios et de ne plus pouvoir être à l'antenne ? Comment supporter ce micro fermé pendant plus de 6 heures ?
Même chose à Fip Paris qui abandonne la proximité avec les auditeurs d'Ile de France.

Continuez de réagir !

Sur ce blog ou en nous écrivant :

Collectif Nantes : auditeursfipnantes@yahoo.fr
Collectif Bordeaux : rififip@laposte.net
Collectif Strasbourg : sauvonsfip@gmail.com 

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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 22:42

A lire un article de Daniel Riot, journaliste et directeur du Webjournal RELATIO EUROPE.

Cliquez sur ce lien : Le PDG de Radio-France est-il sourd ?

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